Témoignages de clients d'iGENEA
Trouvé des parents inconnus jusqu’ici, éloignés
Pendant 10 ans, j’ai cherché de façon intensive l’histoire familiale de mes ancêtres. La recherche par documents m’a amené jusqu’à 5 générations en arrière, pas plus. Après qu’une connaissance m’ait parlé de la généalogie par ADN, j’ai fait un test sur le chromosome Y à 120 Euro et j’ai découvert sur la base de données d’iGENEA des parents écossais qui m’étaient jusqu’alors inconnus.
En moins d’un mois, j’ai appris que mon nom d’origine écossaise, était Morison, un dérivé du nom de clan Morrison. La lignée du clan Morison put être remontée jusqu’au temps des Vikings. En outre, je correspond beaucoup au clan voisin des macLeod, donc je suis membre du clan des highlands, les Mac leod ( isle of Lewis et Isle of Skye). Notre chef de clan s’appelle Hugh Mac Leod et il est le 30 ème chef de ce clan depuis le 12ème siècle.
Mon ancêtre vint lors de la guerre de trente Ans en tant que soldat en Allemagne et se maria ici. Son nom fut mal compris et changé en Moritz.
Ralf Moritz, Basse-Saxe, Allemagne
Dépasser les limites de la généalogie traditionnelle
Depuis toujours je m'intéresse a la généalogie, mes recherches sur mon
nom de famille était arrivées a leurs limites vers 1600 en Alsace, mon nom Germanique me faisait penser que le peuple d'origine de cette branche était des Germains mais le doute était là, lorsque j'ai découvert iGENEA sans hésiter j'ai effectué le test du chromosome Y en ne donnant aucune informations sur mes recherches et mes résultats, 6 semaines plus tard et après tant d'années de recherche j'apprends que l'haplogroupe de cette branche est celui de l'Europe occidentale que le peuple d'origine sont les celtes ou les basques et que mes ascendants était encore présent en Europe de l'ouest aux alentours de l'an Mille cent, tout ceci correspond avec mes résultats et je ne suis pas étonner de ces origines, j'attends maintenant une recherche approfondi sur l'ADN pour pouvoir déterminer le parcours exact de mes ancêtres.
S.Freÿd, France
Provenance peuple de marins, phéniciens
Avec grand intérêt, j’ai essayé de découvrir qui étaient les ancêtres de mon père et d’où venait mon nom de famille.
Etant donné que la maison communale de mon lieu familial a été victime il y a plusieurs années d’un incendie, il m’était impossible d’en apprendre plus du côté de mon père.
A ma grande surprise, j’ai appris par le test ADN que je provenais du peuple marin des Phéniciens. En outre, nous avons appris que nos ancêtres étaient partis alors du Liban/Syrie actuels, de villes telles que Tyr et Carthage pour se rendre en Italie. Et que de là ils avaient dû se déplacer vers la Suisse. C’est déjà fascinant de voir ce que les gènes peuvent nous apprendre. Ce qui me fascine aussi, c’est que depuis mon enfance la Méditerranée m’a toujours attiré. Peut-être que nous héritons dans nos gènes de plus de choses que nous ne croyons.
Benjamin Tschupp, Suisse
Au lieu de racines juives, j’ai découvert mes racines finnoises – Sami
Penser que le célèbre roi David de la Bible ou que Louis XIV pourrait être un de mes ancêtres, me fascine depuis que je suis petit. Quand j’ai vieilli, c’était mon plus grand rêve de savoir si j’avais des racines juives. C’est pourquoi j’ai cherché avec mon père dans mon lieu d’origine près de Berne, cependant nous n’avons pu remonter que 5 générations, ensuite la lignée a été interrompue en raison d’un enfant né hors mariage.
Un test ADN était pour moi comme un cadeau du ciel. Malheureusement pas un cadeau tout à fait offert. Après pas mal d’économies, j’ai pu me payer deux tests débutants-combi. Mon père et le frère de ma mère ont été surpris quand je leur ai mis les tests sous le nez. J’étais tendu en attendant le résultat.
Au début, j’étais déjà un peu déçu du fait que je n’avais pas d’origine juive. Je trouvais les Germains et les Celtes trop normaux. J’attendais quelque chose de plus extraordinaire. Le fait que ma mère ait une lignée Sami, de la Finlande m’a réjoui. C’est exotique et ce qui est exotique, j’aime ça. Je me suis informé tout de suite, plus à propos de ces gens. A l’école primaire j’avais un jour fait un exposé sur le peuple Sami (comme ma sœur s’en est souvenue).
La culture de ce peuple a commencé à me fasciner et j’ai commencé à m’identifier un peu à ce peuple même si cela peut sembler ridicule.
Je suis persuadé depuis longtemps que l’on hérite plus que ce que les chercheurs dissent. Étonnamment, j’ai eu l’impression de retrouver beaucoup de caractéristiques de la culture Sami dans ma propre famille. Je ne sais pas si c’est le fruit de mon imagination. Je crois en tous cas, à mon héritage fantastique ! Au lycée j’ai écrit une rédaction sur une de mes arrière-grands-mères.
Ce que j’aimerais par la suite c’est de pousser mes tests plus loin pour peut-être trouver des origines juives pour pouvoir revendiquer une filiation avec le roi David et d’emménager à Versailles.
David Berger, Suisse
Autres migrations des ancêtres
Quand j’ai fait une recherche internet sur mes ancêtres en fouillant sur internet, je suis tombé sur un projet ADN des mennonites. Etant donné que mes ancêtres dans la ligne directe de mon père appartenaient à la foi mennonite, je me suis intéressé tout de suite à cet événement. Ceux qui appartenaient à ce groupe se mariaient en général entre eux et c’est ainsi que l’on pouvait retrouver beaucoup de familles du temps de la réforme.
Je me suis particulièrement intéressé au nom de famille „Penner“, qui s’est transmis à ma lignée par une modification du nom „Fröhlich“. Ce qui était étonnant, c’est que sur env. 36 personnes testées ayant ce nom, 35 possédaient le même haplo groupe et ceux-ci doivent avoir été apparentés il y a 500-600 ans. Maintenant, je voulais savoir si je faisais partie de ce cercle et j’ai fait un test de chromosome Y.
L’haplogroupe est ressorti, ce qui signifie que je proviens moi aussi de l’ancêtre des Penners. Le plus étonnant, c’était que l’ADN de Penners a beaucoup de similitudes avec celui de la plupart des Espagnols et des personnes d’origine espagnole. C’est très étonnant car leur origine remonte aux Pays-Bas, à la zone germano-hollandaise, d’où beaucoup sont partis vers la Prusse occidentale et ensuite en majorité vers la Russie.
Apparemment l’un de mes ancêtres avant la période mentionnée doit être venu d’Espagne. Probablement que cela s’est passé durant la guerre de 30 ans, quand l’Espagne a occupé les Pays-Bas ou un peu plus tôt lors de la fuite de l’Inquisition Espagnole.
L’haplo groupe E3b
Est arrivé en Europe par plusieurs voies, cependant l’ADN des Penner montre aussi en outre des similitudes avec l’ADN nord-africain. Il pourrait être arrivé par les Phéniciens de l’antiquité ou lors des invasions musulmanes. Si ces histoires incroyables sont exactes, mes ancêtres auraient migré d’Afrique du Nord, via l’Espagne, les Pays-Bas, la Prusse Occidentale, l’Ukraine, la Sibérie et le Kazakhstan, jusqu’à ce que mes grands-parents soient rentrés en Allemagne.
Etant donné qu’entre-temps j’ai aussi fait tester les lignées maternelles de mes parents par iGENEA, j’ai appris en même temps que j’ai aussi des ancêtres celtes et germains, par lesquels mon origine européenne est confirmée. Les résultats montrent cependant que les humains, dans le passé entreprenaient des migrations incroyables.
Stefan Fröhlich, Allemagne
Origine de la famille de mon arrière-grand-père
J’étais déjà depuis longtemps intéressé par la recherche de mon arbre généalogique. En particulier, je suis intéressé par l’histoire de l’origine de mon arrière-grand-père.
Pour approfondir encore advantage les recherché enterprises, j’ai commandé auprès d’IGENEA un test combiné pour débutant. J’étais très étonné par le résultat, car je soupçonnais fortement que mes ancêtres du côté de mon père venaient de l’est. Le résultat par contre a montré que mon pays d’origine du côté de mon père est le Royaume Uni de Grande Bretagne.
Johann Reischenboeck, Suisse
Est remonté jusqu’au 17ème siècle
Depuis 12 ans, j’essaye en tant que généalogiste amateur de trouver les traces de mes ancêtres. Je n’y suis parvenu que jusqu’au début du 18 ème siècle de façon rationnelle.
Mes ancêtres viennent de la Prusse orientale. Au début du 18ème siècle, la Prusse fut repeuplée après la grande peste et la 3ème guerre nordique de Prusse Orientale par des migrants venant de toute l’Europe. Et voilà où se trouve le problème pour beaucoup de chercheurs sur les familles. Si l’on ne dispose pas de la moindre indication sur le pays d’origine d’un migrant, on n’a pas la moindre chance de retracer ses ancêtres. En outre, durant les deux guerres mondiales, beaucoup de matériel comme les livres d’église, les listes fiscales, etc… a été égaré.
Dans les cercles de généalogistes on discute depuis quelque temps exactement pour cette raison du sujet Test-Génétique pour trouver la continuation d’un arbre généalogique concernant un ancêtre très éloigné.
J’ai fait faire les premiers tests génétiques mais sans avoir vraiment de succès. Je comprends bien que ce n’est qu’avec un nombre croissant de personnes en recherche que la chance de trouver un correspondant s’accroit. Je n’abandonne pas encore car jusqu’à présent c’est l’unique chance de retrouver encore une trace au 17ème siècle.
Dieter Finkhäuser, Allemagne
Mes doutes à l’égard de la recherche ADN m’ont été ôtés grâce au service à la clientèle et grâce aux conseils scientifiques compétents
J’ai fait une recherche d’ancêtres depuis 5 ans et au printemps 2008, par hasard, mon attention a été attirée par Igenea.
Jusque là je ne savais pas que la possibilité de la généalogie ADN existait.
Les doutes du début (et même ceux par après) se sont dissipés grâce au service à la clientèle et les conseils scientifiques compétents.
Pour permettre aux clients d’avoir des échanges, il est bon de recommander le forum. Si l’on est bloqué ou si des questions restent ouvertes, une collaboratrice d‘ Igenea vous aidera.
On cherchera en vain ailleurs, ce genre de service.
Beaucoup de jeux sur les pages d‘ Igenea et de FamilyTree (afficher des parents génétiques sur la carte mondiale etc.) font de la recherche digitale d’ancêtres un événement interactif. Les nouvelles connaissances scientifiques s’ajoutent au résultat en ligne personnel.
Ma recherche d’ancêtres "analogique" s’est terminée du côté de ma mère vers 1860 dans un petit village de l’ancienne Prusse orientale (aujourd’hui la Pologne).
Mes efforts pour remonter la lignée paternelle m’ont fait atterrir en 1690 dans la région du Rhin-Moselle, à la frontière.
Grâce au test de débutant-combi d‘ Igenea j’ai pu approfondir l’histoire de ma famille. En vérité aucun parent direct n’a été révélé, mais j’ai déjà eu des surprises.
Dans la lignée paternelle p.ex. Peuple d‘origine: Germains, pays d‘origine: Royaume Uni, j’ai donc pu en conclure que l’un de mes ancêtres après plus ou moins 1100 mais en tous cas avant 1690 avait migré d’Angleterre vers l‘Allemagne.
(Peut-être comme soldat durant la Guerre de 30 ans) Grâce à la grande base de données d‘ Igenea et de FamilyTree j’ai maintenant la possibilité d’écrire des emails à mes parents génétiques en Angleterre.
Je remonte dans le passé, pas à pas.
Dans ma lignée maternelle, j’ai pu également découvrir un mouvement migratoire surprenant de mes ancêtres.
Peuple d‘origine: Vikings, pays d‘origine : Suède
J’ai donc pu retrouver qu’une ancêtre féminine a vécu en Suède jusqu’au moins le 10ème siècle. N’importe quand, au cours de l’histoire, une ancêtre de ma lignée maternelle, a migré vers la Pologne et là le cercle se referme sur mon arrière-arrière grand- mère.
Après discussion avec l’historienne d’Igenea, j’ai appris que mes valeurs génétiques du côté de ma mère correspondaient avec celles de la lignée viking. Les échantillons vikings provenaient de tombeaux du temps des Vikings, de la Norvège et de l’Ecosse (Iles Orkney). Dans la lignée maternelle directe, je provenais aussi des Vikings.
Du côté paternel, je pourrais venir des anglo-saxons, qui ont peuplé l’Angleterre du temps des migrations des peuples.
Pour moi la question se pose de savoir ce que les gènes „emmagasinent“ et transportent avec le temps. Car depuis que je peux penser, je me sens proche de l’ « ancienne »culture scandinave et es îles britanniques. L’aventure continue!
Olaf J. , Allemagne
Etant donné qu’étant enfant j’ai été adopté, je ne connais pas mes parents biologiques. Mon unique chance de découvrir quelque chose sur mon histoire résidait dans le test ADN d’iGENEA.
Pendant 32 ans, j’ai vécu sans racines. Comme j’avais été adopté étant enfant, je ne connais ni ma mère, ni mon père biologique. Mon unique chance d’en savoir au moins un peu sur ma propre histoire, était le test ADN chez iGENEA. Le résultat a été pour moi plus que surprenant car mon ADN a démontré que du côté de ma mère j’avais des racines celtes et du côté de mon père des racines germaniques. Pendant des années, moi et ma famille adoptive nous avions pensé que je devais avoir des ancêtres de l’Europe du sud car dans l’enfance j’avais des cheveux noirs et des yeux très sombres. Depuis que je sais d’où je viens, je peux grâce aux données retrouver des cousins génétiques, de quelle façon mes ancêtres ont migré, et aussi éventuellement découvrir des parents éloignés, ce qui n’aurait jamais été pensable sans le test ADN. Dès que possible je vais approfondir mon test débutant pour avoir un aperçu encore plus approfondi de mon histoire.
Je souhaite qu’un jour la généalogie soit capable de différencier de quelle branche celte ou germanique je viens. Jusqu’à présent, on ne peut faire la différence entre l’ADN typiquement franc ou typiquement teuton par rapport à l’ADN lombard ou gothique.
R. Pagel, Allemagne
Projet de nom de famille: Hauri est égal à Howery
Je suis enchanté parce que je connais enfin mes vraies origines. Mon partenaire de test et moi, nous sommes des généalogistes amateurs. Nous savions que nos deux familles avaient des liens de parenté éloignés par le nom de famille Suisse Hauri. Le premier ancêtre en commun vivait probablement autour de 1400. Ma famille portant le nom Howery a toujours prétendu qu'elle s'appelait auparavant Hamilton jusqu'à ce qu'un ancêtre en 1800 reprenne de son beau-père le nom de Howery. Nous n'avons jamais pu trouver de preuve pour cette histoire, mais nous y croyions. Je suis arrivé à la conclusion que seul le test du chromosome Y pouvait nous révéler la vérité et je l'ai fait faire. A ma grande surprise ce simple test me dit que je suis un descendant de la famille Hauri. Maintenant j'ai la preuve que ma famille a cru à une erreur pendant longtemps. Je suis un Howery avec des origines suisses.
Justin Howery, justin@stromsborg.com
Chercher et trouver des personnes apparentées dans le monde entier
Je m'appelle Alice Rabinovich et j'habite en Argentine. Il y a quelque temps j'ai appris qu'un homme en Californie qui cherchait sa famille sur internet pourrait être notre cousin. Nous nous sommes contactés et il a commandé un test pour lui-même et un de mes cousins.
En moins d'un mois nous avions la preuve que nous appartenons à la même famille, et que nous nous étions perdus il y a trois générations. Nous étions tous très contents. Notre famille vit à 6000 miles de nous. Une ère nouvelle a commencé pour nous.
alix@infovia.com.ar
Enfant adopté cherche et trouve ses origines
J'ai été abandonnée à ma naissance, et je devais vivre avec cela, ne sachant pas d'où je venais. J'ai eu beaucoup d'espoir de retrouver mes origines lorsque j'ai entendu parler de test du chromosome Y. Grâce à ce test je suis devenue une nouvelle personne, quelqu'un qui a des origines. Mes ancêtres sont des Juifs hongrois. J'ai même retrouvé deux cousins éloignés, les premiers membres de ma famille à part mes propres enfants qui ont enfin aussi des origines "complètes".
Patricia Matthes
Projet de nom de famille (Non-Paternity-Event) : Mumma
Un homme qui porte le nom de famille Bell a contacté l'administrateur du projet de nom de famille Mumma. L'arrière-grand-père de cet homme avait été voyageur de commerce dans l'Ohio. Des sources incertaines disent qu'il avait été volé et tué avant de pouvoir épouser l'arrière-grand-mère de Bell. Elle attendait un enfant, le grand-père de Bell. Plus tard elle a épousé un homme du nom de Bell qui a adopté son fils naturel. Selon ce qu'on disait, le nom de l'homme tué était "Elmer Maumau", mais personne n'en était sûr, parce qu'il n'y avait pas de traces écrites. Dans le projet de nom de famille Mumma il y a un dénommé Elmer Mumma dans l'arbre généalogique des Mummas. Celui-ci ne s'est pas fait tué, mais il s'était marié et avait fondé une famille. L'homme qui porte le nom de famille Bell a donné un échantillon de lui à analyser et le résultat montre que son profil d'ADN du chromosome Y correspond tout à fait aux profils de trois des descendants d'un immigrant nommé Peter Mumma. On en a conclu que le nom de famille génétique de monsieur Bell est bien Mumma. Les résultats ont été présentés à un des arrière-petits-fils d'Elmer Mumma, et il se rappela qu'Elmer Mumma était voyageur de commerce à l'époque de la conception du grand-père de Bell, et qu'il avait vécu dans l'Ohio. Après échange de dossiers et de photos de famille, il était évident qu'Elmer Mumma était le père du grand-père de Bell. Les conséquences réjouissantes des tests peuvent donc être très compliquées mais passionnantes...
Adoption
J'ai été adopté quand j'étais bébé. Maleureusement je ne savais rien sur mes origines à part que étant blond aux yeux bleus j'étais probablement Européen. J'ai eu l'espoir de trouver enfin mes origines quand j'ai entendu parler du test ADN, qui m'a permis de savoir que j'étais Européen du Centre, de l'Est et Anglo-Saxon. Et en effet le test ADN-Y-12 a montré que par mon père j'étais Européen de l'Ouest et que j'appartenais au haplogroupe T. Le test ADNmt m'indiquait, que je faisais partie du haplogroupe T, c.à.d. que je suis aussi Européen de l'Est. J'avais donc des indications sur mes origines. J'ai décidé d'élargir les deux tests, car je voulais trouver des membres de ma famille. Mais j'ai été déçu quand j'ai appris qu'avec les personnes présentes dans la banque de données je n'avais que 12 marqueurs en commun. Personne dans la banque de données n'avait 36 ou 37 marqueurs en commun avec moi. J'ai perdu 6 mois à tourner en rond, puis j'ai reçu un mail dui m'a coupé le souffle. Le test FT ADN-Y montrait que j'avais 37 marqueurs d'ADN en commun avec quelqu'un. Cela voulait dire qu'avec une probabilité de 90% nous avions un ancêtre en commun dans les 5 dernières générations. J'ai évidemment tout de suite contacté mon cousin au x-ème degré, il est mon seul consanguin. Et moi, le bébé adopté qui a grandi et est devenu un homme sans origines, je suis très heureux. Mon parent cosanguin et moi, nous nous écrivons régulièrement des mails. Nous n'avons pas seulement un lien génétique, nous nous entendons aussi très bien.
Nom de famille très courant
Nous avons un nom de famille qui est très courant dans le nord de l'Allemagne. Nous voulions donc savoir à l'aide d'un test d'ADN généalogique, lesquelles de ces familles portant ce nom n'avaient pas de lien de parenté. Pour rester raisonnable financièrement, nous avons effectué un test à 12 marqueurs avec 10 personnes. Après ce test simple reflétant nos liens plutôt récents, nous pouvions éliminer 2 personnes sur les 10. Nous, les 8 autres, avons commandé un test plus précis, un upgrade à 37 marqueurs, et celui-ci confirma définitivement les analyses généalogiques déjà existantes. Nous les 8 homonymes sommes probablement les descendants de deux frères.
Nom de famille rare
Nous avons un nom de famille tellement rare que j'étais sûr que tout ceux qui porteient ce nom venaient de la même région que nous en Autriche. J'ai cherché des adresses sur internet, dans les annuaires téléphoniques et dans les mairies. Quand j'ai pris contact avec les gens que j'avais trouvés, la plupart étaient près à faire faire un test. Le test généalogique ADN-Y starter plus (test 37 marqueurs) nous a divisé en deux groupes génétiques distincts. Nous avons comparé nos arbres généalogiques, nos papiers et nos histoires de famille et nous avons appris qu'un des deux groupes venait d'Angleterre et d'Ecosse, et l'autre d'Autriche et de Hongrie. Le groupe hongrois-autrichien auquel j'appartiens a pu être divisé davantage grâce au test à 67 marqueurs. A ma grande joie, grâce aux nouvelles informations obtenues par les tests d'ADN généalogique, mon arbre généalogique grandit.
La caste du Cohen
Mon père est né au centre ouest des Etats-Unis en 1883. Son père était venu aux Etats-Unis en tant qu'immigré de la région de Kiev en Russie. Il y a quelques mois un cousin de Houston m'a parlé d'une famille qui s'appelle Cherniss, comme nous. Il paraît qu'elle était arrivée aux Etats-Unis venant de l'ancienne Union Soviétique, donc de la même région que mon grand-père. J'ai calculé que si on avait un lien de parenté avec cette famille Cherniss, on aurait perdu le contact depuis plus de 120 ans. J'ai ensuite commandé deux tests, un pour moi et un pour un membre de la famille Cherniss à Houston. Peu de temps après nous avons appris que nous étions de la même famille, et en plus qu'on appartenait à la caste du Cohen, une nouvelle très excitante.
Joel Cherniss, San Francisco, USA