Redécouverte personnelle : un voyage à travers mon ADN avec le test iGENEA
Nom de famille Endres
Recevoir les résultats de mon test ADN iGENEA a été une expérience révélatrice, dévoilant l'empreinte génétique de mon héritage juif ashkénaze derrière mon nom de famille Endres. Cela m'a poussé à chercher plus profondément l'histoire et la culture de mon arbre généalogique.
L’expérience iGENEA DNA a été pour moi une redécouverte personnelle. En tant que natif et fier porteur du nom de famille Endres, j'étais curieux de découvrir l'origine et les ramifications précises de mon héritage génétique qui, selon moi, ont pu être imprégnées dans mon nom.
Avant de m'engager dans cette expérience, n'ayant rien de plus qu'une compréhension superficielle de mon lignage, je concevais mon identité passée en termes simplistes - moi, filiation allemande, membre de la grande famille Endres. Prenant l'ADN comme un facteur déterminant de l'identité, j'ai été anxieux de voir ce que l'analyse iGENEA pourrait révéler.
Le processus en lui-même était clair, engageant et la facilité d'utilisation du kit m'a semblé impressionnante. La tension était palpable alors que j'attendais les résultats.
Le jour où j'ai reçu l'email avec mes résultats, un mélange de surprise et d'excitation m'a submergé. Les résultats révélant un arrière-plan diversifié ont été révélateurs. Outre mes racines allemandes, des traces de gènes juifs ashkénazes étaient également présents dans mon ADN. Cela a été une surprise totale.
Avec la surprise, cependant, sont venus un sentiment d'émerveillement et un intérêt renouvelé pour mon histoire familiale. J'ai commencé à chercher davantage sur mon arbre généalogique et à lire sur l'histoire religieuse, sociale et culturelle des Ashkénazes.
Les résultats de mon test iGENEA ont influencé ma perception du nom de famille Endres en ajoutant une couche supplémentaire de complexité et de profondeur à mon identité. Le nom que je porte désormais représente non seulement ma filiation allemande mais aussi la trace de mon héritage juif ashkénaze.
K. Endres