Plongée dans mes racines familiales : le voyage génétique avec iGENEA
Nom de famille Nies
Découvrir un pan méconnu de son histoire familiale grâce à iGENEA. En quête d'éclairage sur la provenance exacte de ses racines familiales, l'analyse ADN d'iGENEA a révélé l'origine germanique et celtique du nom de famille Nies, tout en offrant une perspective plus approfondie sur l'histoire de ses ancêtres.
Mon expérience avec l'analyse ADN proposée par iGENEA a été des plus enrichissantes. En effet, en quête d'éclairage sur la provenance exacte de mes racines familiales, le processus du test d'ADN a suscité en moi une curiosité accrue envers l'histoire et l'origine de mon nom de famille : Nies.
Selon les résultats de l'analyse, le nom de famille Nies serait d'origine germanique. Essentiellement présent en Allemagne, cette découverte résonne avec ce que j'avais toujours su, ayant grandi avec l'idée que mon patronyme était commun dans ces régions. Cependant, iGENEA a mis en lumière un pan méconnu de mon histoire familiale en me révélant une ascendance celtique liée à mon lignage.
Toutefois, passer par le test iGENEA ne s'est pas simplement résumé à une localisation géographique de mon nom de famille. Il s'agissait également d'un voyage à travers le temps. En effet, l'analyse ADN a pu déterminer des périodes spécifiques de l'histoire où mes ancêtres étaient présents. Ainsi, j’ai découvert que mes ancêtres germains et celtes ont contribué à l'édification de l'Europe telle que nous la connaissons aujourd'hui.
Par ailleurs, j'ai également appris grâce à iGENEA que le nom de famille Nies est assez répandu, non seulement en Allemagne mais aussi à travers le monde. Ce fait m'a permis de faire une recherche plus approfondie sur possibles parentés éloignées, me faisant réaliser l'ampleur de mon arbre généalogique.
En fin de compte, le test d'ADN m'a offert une perspective plus approfondie sur qui je suis et d'où je viens. Je suis désormais conscient de l'histoire millénaire que porte mon nom, le rendant, à mes yeux, encore plus précieux.
D. Nies